Il était une fois,
une fois que j’oublie parfois.
Au-delà de la frontière du possible,
dans un pays,
qui est loin d’être plausible,
en plus,
il vieillit.
Il se perd, se dissout,
ne croit plus
et devient sans sous.
Ce pays,
nommé dans le passé paradis,
s’efface lentement de la carte du monde.
Pourquoi ?
Je me souviens d’un sage qui a dit,
que la vie c’est comme une barque sur une onde,
une fois en haut, puis en bas très vite.
Et donc de ne pas perdre de vue,
cette perspective des limites,
c’est ce qu’il m’a conseillé de vivre,
avec son sourire à suivre.
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